Bilan 2020 du programme d'aide aux riverains
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aussi, c’est de dire que les aides ne sont pas suffisantes. Ce n’est pas un problème de taux puisqu’ils sont de 100 % pour les études et que pour le collectif ils peuvent être de 95 % pour les travaux, mais un problème d’assiette, du montant de la subvention : le reste à charge reste trop important pour les riverains. Ce sujet, particulièrement sensible, a été remis en lumière cette année du fait de la chute des recettes de TNSA suite à la forte réduction du trafic aérien. Ces sujets ont été des préoccupations très fortes exprimées par les riverains lors de la CCAR, qui n’est pas seulement l’occasion d’émettre un avis sur les dossiers présentés, mais est aussi l’occasion d’échanger sur leurs attentes.
soumis à son appréciation. La CCAR a vocation à se réunir au moins 3 à 4 fois par an mais elle n’a pas pu se réunir autant que nous le souhaitions en raison du manque de dossiers. Autre problème, conjoncturel : on ne pouvait pas faire de réunion en présentiel. Avec l’ensemble des collèges, les représentants de l’administration, le Groupe ADP, la DGAC, nous sommes en général une trentaine. Or nous n’étions pas forcément équipés pour siéger en distanciel. La difficulté que l’on rencontre pour les dossiers restants ne réside pas que dans la méconnaissance de la mesure ou la complexité de la procédure. L’analyse des riverains, des associations de riverains et de certains élus
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S’ENGAGER ENSEMBLE POUR LES ENJEUX DE DEMAIN
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